Nuit torride
Publié : 16 sept. 2010, 08:42
Je tiens à m'excuser par avance envers tous les possesseurs de GP et à ceux qui se sont fait voler leur jolie monture récemment (en particulier JCN).
Mais bon, voilà vos histoires me turlupinent grave, et j'en rêve la nuit:
Cette nuit, donc, j'ai échangé mon Corsaire contre une GP d'un mec qui habitait Compiègne. Quelques heures après l'échange effectué, je me rends compte de ma connerie, et (véridique) je me dis "putain t'as échangé ta moto contre une moto de femmelette, t'es trop con". J'étais archi mal et dégoûté dans mon rêve. Je rappelle donc le gars, et je lui dis qu'après réflexion et essai de la GP, je désire récupérer mon Corsaire, ce qu'il accepte. Il descend donc de Compiègne, me ramener ma moto et reprendre la sienne. J'étais tout content et très perturbé à la fois: avait-il saigné ma moto comme un goret ? Heureux comme un gamin, je me décide de le raccompagner dans l'Oise afin de me réconcilier avec ma Morini. Je passe la soirée à Compiègne, et laisse garée ma moto près d'un arrêt de bus, sans antivol. A mon retour plus de Corsaire (c'est là que le parallèle avec la triste histoire de JCN est saisissant). Putain, grosse panique, grosse flipe, je file au commissariat. J'expose mon problème, et là le flic me dit : "On ne peut rien faire pour vous M'sieur, c'est trop dangereux". Quoi ???????? Je sors dehors, je fais les 36 pas, triste/mal/énervé/dégouté et stupéfait de la lâcheté des flics. Ce mal être était tellement fort qu'il me réveil, et je me dis à 2h33 du matin: "Putain on vient de me piquer ma bécane, je suis trop dégouté, l'assurance va me rembourser une misère, comment je vais faire pour m'en racheter une autre. Et les flics sont tous des lopettes." Pendant au moins 30 secondes, dans mon lit, je me suis tourné et retourné en étant dans un état de dégout pas permis. Jusqu'à ce que je me rende compte que ce n'était qu'un rêve et que ma moto devait être bien au chaud dans mon garage. Putain le sou-lage-ment.
Donc ce qu'il faut retenir de tout cela: la GP c'est une moto de lavette , et à Compiègne on pique les MM et les flics sont des couilles molles .
Knop'.
Mais bon, voilà vos histoires me turlupinent grave, et j'en rêve la nuit:
Cette nuit, donc, j'ai échangé mon Corsaire contre une GP d'un mec qui habitait Compiègne. Quelques heures après l'échange effectué, je me rends compte de ma connerie, et (véridique) je me dis "putain t'as échangé ta moto contre une moto de femmelette, t'es trop con". J'étais archi mal et dégoûté dans mon rêve. Je rappelle donc le gars, et je lui dis qu'après réflexion et essai de la GP, je désire récupérer mon Corsaire, ce qu'il accepte. Il descend donc de Compiègne, me ramener ma moto et reprendre la sienne. J'étais tout content et très perturbé à la fois: avait-il saigné ma moto comme un goret ? Heureux comme un gamin, je me décide de le raccompagner dans l'Oise afin de me réconcilier avec ma Morini. Je passe la soirée à Compiègne, et laisse garée ma moto près d'un arrêt de bus, sans antivol. A mon retour plus de Corsaire (c'est là que le parallèle avec la triste histoire de JCN est saisissant). Putain, grosse panique, grosse flipe, je file au commissariat. J'expose mon problème, et là le flic me dit : "On ne peut rien faire pour vous M'sieur, c'est trop dangereux". Quoi ???????? Je sors dehors, je fais les 36 pas, triste/mal/énervé/dégouté et stupéfait de la lâcheté des flics. Ce mal être était tellement fort qu'il me réveil, et je me dis à 2h33 du matin: "Putain on vient de me piquer ma bécane, je suis trop dégouté, l'assurance va me rembourser une misère, comment je vais faire pour m'en racheter une autre. Et les flics sont tous des lopettes." Pendant au moins 30 secondes, dans mon lit, je me suis tourné et retourné en étant dans un état de dégout pas permis. Jusqu'à ce que je me rende compte que ce n'était qu'un rêve et que ma moto devait être bien au chaud dans mon garage. Putain le sou-lage-ment.
Donc ce qu'il faut retenir de tout cela: la GP c'est une moto de lavette , et à Compiègne on pique les MM et les flics sont des couilles molles .
Knop'.